Au moins 4 personnes tuées dans l’espace du mois de novembre 2022 dans le quartier ndosho en commune de Karisimbi. Selon la société civile a ces cas il faut ajouter des cas des vols, pillages et cambriolage de maisons enregistrés du jour le jour.
« La situation est déplorable, c’est seulement celui qui n’a pas encore vécu de tel cas qui peut penser que c’est de la blague mais la situation de voleur est devenue légion dans notre quartier et elle a atteint son paroxysme. Ils peuvent arrivésb,ils tuent les gens et partent sans dire que c’est soit après plusieurs heures d’opérations. » Témoigne Alain BAKONJO habitant de l’avenue garamba.
» La persistance de l’insécurité ici à Ndosho s’explique par le taux de chômage élevé et loisiveté chez plusieurs jeunes qui pensent de longueur de journées dans le débit de boisson » estime Safari Nyamuto Serge président de la jeunesse dans la cellule munanira.
Pour lui tous les indicateurs sont au rouge. Il faut une prise de conscience collective pour que les jeunes arrivent à aimer le travail et non la facilité.
A la société civile l’on peint un tableau sombre pour ce quartier compté par les 18 de la ville de Goma. Son président pense que les autorités doivent prendre le taureau par la corne et en finir avec cette situation.
« Ça fait un mois, nous avons répertorié beaucoup de problème d’insécurité dans le quartier ndosho. Nous avons eu morts d’hommes, de cambriolage, beaucoup de tracasseries dans notre quartier. Ce que nous pouvons donner à titre d’exemple tuerie sur les avenues Minova, Renga durant ce moins un homme âgé de 45 ans père de 9 enfants y a été tué , sur l’avenue mitumba un jeune de 25 ans . Au côté de tout ça autres personnes ont été blessées. La population vit la peur au ventre, impossible de dormir surtout quand il pleut. De cela nous demandons l’implication des autorités. « explique Josue NSIBIRO président de la société civile du quartier Ndosho.
Notons que le quartier Ndosho est l’un de quartier de la ville de Goma où le cas d’insécurité sous différentes formes sont enregistrés. Les habitants ne sachant pas à quel saint s’evouer mobilise les jeunes pour voir essayer de contenir la situation.
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