Le Lieutenant général Ndima Kongba Constant, gouverneur de la province du Nord-Kivu
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Le mouvement citoyen vision pour la victoire du peuple en province du Nord-Kivu, demande au gouverneur militaire du Nord-Kivu de renforcer la cohésion pacifique entre les communautés pour permettre le retour de la paix dans cette partie de la RDC.
Selon Héritier Gashegu, le tribalisme et la corruption sont restés une maladie virale dans les institutions de l’état en provinciales du nord Kivu avant et en plein état de siège.
« Il n’y a pas et jamais eu un équilibre communautaire au Nord Kivu dirigée par le Lieutenant général CONSTAT NDIMA. Il n’y aura jamais cet équilibre communautaire si l’autorité provinciale gère dans le même environnement politique où toutes ses décisions sont d’abord taillées sur mesure dans les salons des anciens dirigeants de la province. L’arrêté d’engagement des agents de la province du Nord Kivu signé par le gouverneur civil en congé où seule communauté Nande occupe 157 agents sur 205 agents reste maintenu malgré l’état de siège ; L’actuel Gouverneur Militaire n’a jamais envisager une piste pour ramener de l’ordre sur ces deux actes notamment » a indiqué Héritier Gashegu
Il cite preuve à l’appui que différentes déclarations qui revendiquent les droits des déplacés dont le grand nombre est composé des membres des communautés différentes du territoire de Rutshuru n’ont pas été respecté par l’autorité provinciale.
« Certaines communautés ayant fuit les atrocités liées aux conflits tribaux sont encore dans leurs lieux de déplacement. Nous pouvons citer à titre d’exemple les déplacés venus du Sud de LUBERO et Walikale qui sont a Kiwanja et ses environs malgré la situation sécuritaire actuelle de Rutshuru. Toutes les recommandations et décisions concernant leur rentrée a LUBERO Sud et Walikale sont restées lettres mortes dans le tiroir du gouverneur militaire, il n’y a pas d’équilibre communautaire dès lors que seules deux ou trois communautés du Nord Kivu passent près qu’une année dans des camps des déplacés de Kanyarushinya, Bulengo, Rusayo, Kibatie,…aux yeux impuissants du gouverneur militaire nommé dans le but de ramener la sécurité à ces communautés »
Des acteurs de la société civile du Nord-Kivu, avant l’état de siège, avaient dénoncé de comportement de tribalisme au sein des institutions de l’État en province dont sont victimes certains membres des communautés. Le gouverneur militaire du Nord-Kivu, lors de sa prise de fonction à la tête de l’exécutif provincial, avait promis mettre en déroute toute personne qui sera animé par l’esprit tribal.
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