La situation sécuritaire à l’est de la RDC reste préoccupante et les différentes couches sociales, les associations de la société civiles, les mouvements citoyens, les groupes de pressions et les partis politiques ne cessent de donner leurs points de vue par rapport à cet effet pour que l’année 2023 puisent être une année décisive pour la population de la province du Nord_Kivu, Ituri, deux provinces sous état de siège.
Pour la dynamique sociale pour la démocratie agissante (DSDA) section de la province du Nord_Kivu, une structure citoyenne qui réunit à son côté plusieurs organisations engagés pour les questions de la bonne gouvernance l’année 2022 n’a pas été rose a la population de l’est suite a l’activisme des groupes armés qui ont été la hauteur d’une désolation, déplacement massifs des populations de la partie est de la RDC.
Innocent SAFARI GASIMBA sont point focal en province parle des plusieurs défis sécuritaire enregistrés au cours de l’année 2022 dont les tueries des civiles et autres.
« Les congolais de l’est ont souffert l’année passée suite aux conflits des groupes armés comme les terroristes M23 a Rutshuru, ADF , MAIMAI et CODECO en province de l’ Ituri et Beni ville et ailleurs au Nord-Kivu , les miliciens de NYATAURA, APCLS et autres dans le territoire de Masisi et Walikale toujours dans la même province » a t’il martelé.
« Pour nous cette année malgré les efforts fourni par le chef de l’état les congolais de l’est sont dans les camps de déplacés , maisons d’accueils et autres. Nous sommes amèrement touchés par cette situation et ne voulons plus voir ainsi toute l’année 2023 » souhaite, Innocent SAFARI GASIMBA sont
Il rappelle aux autorités de la République démocratique du Congo d’activer les mécanismes pouvant faciliter la concrétisation du programme PDDRCS à l’est du pays pour mettre fin à l’insécurité persistante car selon lui l’activismes des groupes armés locaux et étrangères qui opèrent à l’est de la RDC sont la seule source de la désolation et la dégradation de la sécurité.
« C’est vraiment difficiles et compliquer d’initier le programme désarmement aux rebelles sans mettre en place les mécanismes d’encadrement de ces combattant. Nous avons certains rendus du site de MUBAMBIRO à Masisi qui ont jugé bon de retourner dans leurs villages d’origine suite au manque d’assistance, les autres s’est sont rallier aux groupes armés qui restent actifs dans la province pour assurer leur survie. Nous demandons les autorités de rendre efficace le PDDRCS car c’est parmi les moyens pouvant aider au rétablissement de la sécurité dans nos villages respectifs » plaife, Innocent safari GASIMBA